Il y a des rôles qui résonnent plus fort que d’autres. Celui de la pirate, libre et insoumise, en fait partie.
En posant dans le quartier d’Adventureland à Disneyland Paris, vêtue d’une robe rouge Shein et d’un tricorne noir, j’ai voulu rendre hommage à ces femmes qui ont choisi la mer plutôt que les chaînes, l’audace plutôt que la discrétion.
Ce shooting n’était pas qu’un jeu de rôle, mais une déclaration : être ronde, c’est déjà une forme de rébellion.
C’est affirmer qu’on peut être forte, féminine, et libre à la fois.
Et si les pirates d’hier bravaient les tempêtes, celles d’aujourd’hui affrontent les jugements — avec le même feu dans le regard.
Sous l’œil bienveillant de lavieenrose.raw, la magie opère
Ce shooting réalisé par lavieenrose.raw à Disneyland Paris n’était pas qu’une séance photo : c’était une métamorphose.
Dans le quartier des pirates d’Adventureland, j’ai enfilé ma robe rouge Shein comme on revêt une seconde peau. Le vent dans les cheveux, les pavés sous les bottes, j’avais la sensation d’incarner une liberté qu’on oublie parfois d’oser.
Lavieenrose a cette sensibilité rare : elle photographie sans travestir. Elle célèbre. Elle fait surgir la beauté réelle, celle des femmes rondes qui avancent sans se cacher.
Les pirates, premières rebelles au féminin
Depuis toujours, la mer attire celles et ceux qui refusent les chaînes. Les pirates ont longtemps symbolisé la transgression, l’esprit libre, la désobéissance joyeuse.
Mais dans l’histoire, certaines femmes ont pris la barre. Anne Bonny, Mary Read, Ching Shih… Ces noms résonnent comme des éclats de sabre dans un monde d’hommes. Elles ont combattu, gouverné, commandé des équipages entiers — sans jamais s’excuser d’exister.
Leur courage a inspiré la légende. Et aujourd’hui, il inspire un autre combat : celui des femmes rondes qui, à leur tour, refusent les diktats et revendiquent leur place, fières, visibles, indomptables.

Image par IA
Être ronde, c’est aussi être rebelle
Dans un monde où la minceur reste trop souvent glorifiée, porter ses formes devient un acte de résistance.
Être ronde et fière de l’être, c’est refuser le récit imposé, celui qui voudrait qu’on se fonde dans le décor.
C’est dire : “Je prends de la place, et cette place, je la mérite.”
Les femmes pirates ne demandaient pas la permission de naviguer. Les femmes rondes ne demandent plus celle d’exister.
Elles avancent avec la même détermination : celle de vivre pleinement, d’assumer leurs désirs, leurs rêves, leur style.
Shein et la liberté de créer son propre style
J’ai choisi ma robe Shein pour une raison simple : elle me permettait d’incarner cette audace, sans contrainte ni jugement.
Rouge flamboyant, corset structuré, étoffe fluide… Cette tenue m’a rappelé que la mode peut être une arme douce, un moyen d’affirmer qui l’on est.
Shein offre ce que tant d’autres marques refusent encore : la possibilité d’exister en grand format, sans compromis sur le style.
Et ça, c’est déjà une petite révolution. Porter du Shein à Disneyland, dans les pas de Jack Sparrow, c’était pour moi une façon de réécrire le récit : celui où la beauté n’a pas de taille, mais du caractère.



La rébellion douce : oser exister autrement
Les pirates n’étaient pas de simples hors-la-loi. Ils étaient des symboles de liberté, d’égalité et d’insoumission.
Leur force ne résidait pas dans la violence, mais dans leur refus des règles injustes.
De la même manière, la “rébellion douce” des femmes rondes n’a rien d’agressif : elle est faite de gestes simples, mais puissants.
S’habiller pour soi. Poser devant un objectif. Marcher tête haute. Rire fort.
Chaque acte devient un pavillon hissé haut : “Je suis là, et je ne me cacherai plus.”
Disneyland Paris, décor d’émancipation
Ce lieu, empreint de rêves et de récits héroïques, devient une scène parfaite pour réinventer la représentation féminine.
À Adventureland, parmi les ponts suspendus et les galions, j’ai ressenti cette étrange fierté d’être là — une femme ronde, visible, forte.
Les visiteurs voyaient peut-être une silhouette de pirate, mais moi, je voyais une version de moi-même que j’avais longtemps cherchée :
celle qui ose occuper le cadre sans se demander si elle en a le droit.


L’héroïne qu’on attendait
Les femmes pirates n’étaient pas des princesses. Elles étaient des stratèges, des aventurières, des survivantes.
Aujourd’hui, les héroïnes modernes leur ressemblent plus qu’on ne le croit.
Elles tracent leur route, souvent contre les vents. Elles refusent de rentrer dans les cases, d’être réduites à leur apparence.
La femme ronde qui s’assume, c’est la pirate de notre époque : courageuse, charismatique, fière.
Elle n’a pas besoin de mer pour naviguer. Il lui suffit d’un regard confiant, d’une robe rouge, et de cette certitude tranquille :
“Je ne cherche pas à plaire, je choisis de briller.”
Hisse haut ton pavillon
Être ronde, c’est peut-être le plus beau des actes de rébellion dans une société obsédée par la conformité.
Et si les pirates ont marqué l’histoire, c’est parce qu’ils ont osé croire qu’un autre monde était possible.
Alors, à toutes celles qui doutent encore : enfilez votre robe, coiffez votre chapeau, et marchez comme si le monde était votre océan.
Parce qu’il l’est.









